Kim, les chevaux c’est son dada !
Il y a ceux qui aiment les chevaux et ceux qui leur consacrent une partie de leur vie. Kim en fait partie.
Elle a baigné très jeune dans cet univers équin.
Pour payer leurs études certains font des petits jobs, Kim, elle, a ouvert un centre équestre.
Un échange passionnant et instructif.
Kim, vous êtes née avec les chevaux ?
Non pas exactement, mais je passais beaucoup de temps chez mon oncle et ma tante qui avaient un élevage et une ferme équestre pour enfants dans la Loire.
J’ai monté mon premier poney vers 10 ans.
Très tôt vous avez eu vos propres chevaux ?
J’ai ouvert un centre équestre pour payer mes études, j’avais à l’époque 26 chevaux. Mon premier cheval s’appelait Filou.
C’est votre métier aujourd’hui ?
Non, je suis professeur des écoles, je suis arrivée dans l’Ain après le concours mais les chevaux occupent tout mon temps libre.
J’ai une formation de comportementaliste. J’ai obtenu un Master en écologie et éthologie. C’est la science des comportements des espèces animales dans leur milieu naturel.
Ce savoir-faire de comportementaliste est indispensable quand on travaille avec des chevaux ?
Non, c’est une spécialité. Je suis comportementaliste équin, j’aide les propriétaires à mieux comprendre leur cheval. Mieux comprendre les chevaux pour mieux les accompagner. Cette compétence m’aide au quotidien. Je l’utilise en permanence mais je vais vous donner un exemple précis dont je suis assez fière d’ailleurs. En 3 jours seulement, j’ai réussi à faire en sorte qu’une jument sauvage camarguaise puisse être manipulée sans risque et qu’elle accepte l’humain.
Pacman, Idefix et Hypnos qui nous accompagnent ont de l’espace.
Effectivement aujourd’hui sur Toussieux, j’ai une carrière sablée, un pré d’été, un pré d’hiver, des paddockes et un rond de longe. Ils ont de l’espace pour se nourrir, gambader, s’entrainer etc.
Ce travail nécessite beaucoup de trajets et de manipulations, c’est pour cela que vous avez opté pour un quad ?
Le quad, c’est un outil de travail et de plaisir. C’est un véhicule agrée agricole donc je peux rouler sur tous les chemins. Il me facilite la vie au quotidien.
Par exemple, j’ai un pré très en pente, il grimpe partout.
On trouve aujourd’hui tout le matériel agricole nécessaire adapté à sa taille. J’ai une herse, une cuve à eau. J’envisage de l’équiper d’un broyeur.
J’ai une benne pour transporter mes équipements ou la nourriture. Je l’ai équipé de pare-buffles pour protéger les animaux. C’est très pratique aussi pour refaire ma clôture. Je gagne du temps et minimise mes efforts.
C’est aussi un véhicule loisir. Je l’utilise régulièrement pour des sorties en famille.
Les chevaux n’ont pas peur ?
Et bien voici un autre exemple de l’intérêt d’être comportementaliste. J’ai intégré petit à petit le quad dans leur quotidien. Aujourd’hui, ils sont même heureux de me voir arriver avec. Il faut dire qu’ils savent que j’apporte la nourriture.
S’il m’arrive d’être trop fatiguée pour les monter ou d’avoir mal au dos, je grimpe sur le quad et ils me suivent. Il fait partie de leur environnement.
Pourquoi avoir choisi un Can-Am ?
Je me suis renseignée. Je voulais une marque fiable et robuste.
Quad et monde équestre, ce n’est donc pas antinomique ?
Bien sûr que non. Il faut juste savoir l’intégrer. Plusieurs centres équestres sont équipés de ce genre de véhicule, c’est tellement pratique, fonctionnel et bien moins gros et moins cher que le plus petit des tracteurs . Si on trouve aujourd’hui tous les équipements agricoles dimensionnés pour le quad, ce n’est pas pour rien.
Merci Kim !
Vous voulez faire appel à un comportementaliste équin, contactez Kim, vous êtes certain d’être satisfait.
Adresse mail de Kim :